Billy Lavigne, 25 ans, est gardien de troupeaux dans le nord du Texas. Quand il apprend la découverte du corps de sa mère, noyée lors d’une crue subite, il rentre à brides abattues au Texas. À son enterrement, il retrouve Ford, un riche propriétaire de troupeaux et son bras droit, Thorpe. Les deux hommes, qui ont aimé la mère de Billy, voient en lui sinon un fils, tout au moins un héritier. Entre désir de liberté et quête des origines, un western tragique et dangereux comme les grands espaces américains.
Billy a seize ans et il est mort. Coup de couteau. Au milieu des tombes du Père Lachaise, il lâche son dernier souffle. Avant de revenir. Ni vraiment mort, ni vraiment vivant. Aux côté de la jeune Mirai, qui va le prendre sous son aile, il va rencontrer les pensionnaires du célèbre lieu : Jim Morrison, Rosa Bonheur, La Fontaine, Molière et bien d’autres. Mais autour du cimetière, gronde une menace de plus en plus pressante, les Oublieux. Ils ont faim, faim de souvenirs et les fantômes sont un met de choix.
Jouissif, exubérant et profondément sensible, le nouveau roman d’Antonio Da Silva ressuscite d’illustres fantômes pour un dernier baroud d’honneur !
Extrait : L’espoir tu le vois pas en levant les yeux ma chérie. Il est caché sous la merde. On t’a pas invité dans ce monde ? Viens à la fête, fais du bruit, force ta place et installe-toi. L’espoir Josefina c’est politique et ça se réclame.
Jo et Cam ont 15 ans, elles partagent un goût pour la boxe, les punchline bien senties, et les grandes histoires de Nana, la grand-mère féministe de Jo. Mais Jo et Cam sont aussi lycéennes, et quand on a 15 ans et qu’on est lycéenne, il est temps de décider ce qu’on va faire de soi pour les 50 ans à venir. Pour l’avenir ? Mais comment faire quand partout dans les médias, ce qu’on nous promet ressemble plutôt à l’apocalypse ? Comment faire quand la peur devient si forte, que c’est la colère qui veut sortir ?
Le roman d’anticipation s’invite dans la collection Hanté pour encore plus de frissons ! Evan n’a jamais été le collégien le plus à la pointe en matière de technologie. Alors, quand il fait gagner à sa famille des vacances dans un nouveau logement futuriste ultra-connecté, il est aux anges ! Pendant une semaine, tous leurs besoins seront satisfaits par une intelligence artificielle nommée M.I.A. À eux le paradis ! Enfin, c’est ce que pense Evan… car rapidement, M.I.A se montre plus autoritaire que prévu. Ce qui ressemble au départ à un dysfonctionnement technique se révèle en fait bien pire : Evan et sa famille se retrouvent pris en otage par leur propre maison, à la merci des injonctions d’une IA maléfique… Niveau de peur de ce roman : 2/3
Infirmière, archéologue, musicienne, et surtout écrivaine, l’icône incontestée du polar s’appelle Agatha Christie.
Dans sa petite ville du sud de l’Angleterre, au début du xxe siècle, la jeune Agatha est une fille de bonne famille amoureuse et joyeuse. Mais la Première Guerre mondiale vient tout bousculer, et, très vite, les soldats blessés reviennent du front. Agatha se présente à l’hôpital le plus proche pour y être infirmière puis préparatrice en pharmacie. Grâce à ce travail, les poisons n’ont bientôt plus de secrets pour elle ! Alors, quand sa soeur lui lance le pari d’écrire un livre, Agatha met ses connaissances à profit… Ses huis-clos redoutables, ses enquêteurs iconiques et ses meurtriers au sang-froid inégalé font d’Agatha Christie la reine du roman policier.
Comment connaître la date de naissance d’un monstre fabriqué à partir des bouts cousus de tas de gens différents ? On ne peut pas ! Alors, quand Marguerite est trop triste de ne pas avoir sa fête d’anniversaire, on lui en organise une. Cette fois, on lui a offert une guitare. Marguerite a commencé à gratter les cordes, et on s’est tous aperçus qu’il ne savait pas en jouer…
Au lycée George-Sand, l’apparence, la réputation et les réseaux sociaux règnent en maîtres : chaque geste est observé, commenté, partagé. Maud et Elina, amies inséparables, tentent d’y mener une vie normale. Mais tout change lorsqu’un projet d’art les pousse à se dévoiler à travers des courts métrages, produisant une série d’événements imprévisibles. Alors que l’humiliation publique et virtuelle se propage, les tensions montent dangereusement.
Qui s’en sortira indemne ?
En vacances chez son oncle, le photographe du village, Fabien se retrouve embarqué dans une inextricable histoire : un accident de voiture pour le moins suspect, un domaine qui suscite les convoitises des promoteurs immobiliers, au grand dam des riverains, un incendie, des secrets de famille remontant à la Résistance et la conquête de l’Algérie qui ressurgissent, et des filles… Ah ! les filles !
Pierre Leterrier a déjà publié à L’atelier du poisson soluble En Être ou pas, ainsi que Le Village magique et Camille au pays des mots, co-écrits avec Valérie Dayre.
Futur proche
Le continent européen est victime de catastrophes multiples, des réfugiés de tous les pays s’amassent au port du Havre, lieu de transit vers un hypothétique salut. L’Islande est encore épargnée, mais pour combien de temps ? Liam, qui a déjà tout perdu, va tenter sa chance en subtilisant le pass d’une migrante, sans savoir que l’Islande aussi se déchire à leur sujet. Ballotté dans le chaos du monde, Liam découvrira qu’il a pris la place d’une femme impliquée dans un mystérieux projet, « Islander » ; sa rédemption, si Liam et ses nouveaux compagnons parviennent à survivre.
Après Sangoma, le duo explosif formé par Caryl Férey et Corentin Rouge est de retour avec une trilogie sous haute tension. Un récit d’anticipation plus réaliste que jamais, qui nous emporte vers des terres gelées où espoir, conscience politique et drames intimes se côtoient. Les auteurs inversent l’ordre du monde tel que nous le connaissons aujourd’hui dans un premier tome aussi haletant que prémonitoire.
Botaniste aussi passionné que passionnant, Francis Hallé nous embarque dans une promenade à la rencontre des arbres, des forêts et de leurs secrets.
De son jardin à la forêt tropicale, de chablis en canopée, Francis Hallé transmet le savoir précieux d’une vie de recherches et son émerveillement intact face à la beauté absolue de la forêt.
Parce qu’on ne défend bien que ce que l’on a appris à aimer.