Au bord d’une route de l’Ohio, une famille sino-américaine ramasse du cresson sauvage. Alors que les parents y mettent tout leur coeur et que leur jeune garçon s’amuse beaucoup, leur fille vit ce ramassage comme une honte. De retour à la maison, elle boude le plat cuisiné par sa mère qui décide de lui révéler un épisode douloureux de sa propre enfance passée en Chine. Ce soir-là, le cresson a le goût des retrouvailles entre les membres d’une même famille séparés par le non-dit.
Andrea Wang livre le récit émouvant d’une transmission autour d’une histoire de famille. Quant à l’illustration, récompensée aux États-Unis par la médaille Caldecott, elle marque par les scènes cinématographiques proches du réalisme qui font surgir les ressorts invisibles de l’intime.
– Une jeune femme, maniant l’épée comme personne, détient un incroyable secret dont elle n’a elle-même pas connaissance
– Un fléau qui sème le chaos sur toutes les îles de l’Archipel
– Un premier tome vendu à plus de 5 000 exemplaires
» Alors qu’il achevait de graver ces mots dans la roche, l’homme espérait, dans un dernier souffle, que la Prophétie ne serait pas oubliée, que la pierre la conserverait à l’abri, et les hommes dans leur mémoire. Il en allait de l’avenir du monde entier. «
Après sa captivité éprouvante qu’elle a subie au château de Nazaroth sous le joug de l’infâme Rufus, Robyn a besoin de se reposer. Ses amis Daérion et Tylan se rendent à la capitale de l’île Kasmal pour retrouver le roi Job. Mais les jours passent et Robyn n’a plus aucune nouvelle de ses compagnons. Inquiète, elle décide de les rejoindre. Mais aux abords de la capitale, elle apprend qu’Urugh, le sorcier dont elle se méfiait tant, a pris le pouvoir en enfermant la famille royale. Il a en outre créer un bouclier invisible qui empêche quiconque de sortir de la ville, ou d’y entrer. Mais il ignore que Robyn est insensible à la magie. Celle-ci pénètre ainsi dans la cité et libère ses amis. Mais la joie est de courte durée. Urugh parvient à s’échapper. Afin de conjurer de nouvelles menaces, Tylan, en qualité d’héritier du royaume, convie tous les gouverneurs des îles de l’Archipel pour faire front commun. Mais un terrible sort sème la mort à cette réunion. La Prophétie est définitivement en marche.
Le chat musicien est une sélection exceptionnelle de chansons écrites pour les enfants dans les années 40. Pour le folkloriste et compositeur Joseph Beaulieu, toutes les occasions sont bonnes pour s’amuser au détour d’une rime! Drôles et tendres, les pièces musicales n’ont pas pris une ride. Dans le livre, chaque illustration est une fête de couleurs dans laquelle évolue des grenouilles concertistes et des oiseaux en costumes de bal! Une joyeuse ménagerie qui fait danser et rêver les petits. Avec, entre autres, Jeanne Cherhal et Enzo Enzo comme interprètes.
Madenn est une petite fille vive et malicieuse, mais pas prêteuse ! Elle voit rouge quand au beau milieu de la nuit une mystérieuse créature vient fouiller dans SA boîte à trésors. Emmitouflée dans sa couverture, l’enfant part sur les traces de ce petit follet, étrange lutin pas plus grand qu’un pouce. Débute alors pour Madenn la plus incroyable des aventures…
Une petite fille pas comme les autres.
Apocaline est une petite fille adorable qui vit sur une île fantastique. Elle aime faire des câlins et rêve d’avoir un chien. Jusqu’ici rien d’anormal, à une exception près, son père n’est autre que Satan ! Et il attend un peu plus de considération pour leurs origines diaboliques de la part de sa propre fille. Après tout, il ne l’a pas éduquée pour être gentille ! Chez lui, Apocaline est interdite de câlins, n’a pas le droit de ranger sa chambre et doit vivre dans une maison à la décoration morbide. La pauvre petite a bien besoin de changer d’air et de se faire des copains ! Ainsi, quand Nick Forceps, un braqueur de banques se crashe sur l’île, Apocaline est la première à vouloir l’aider à réparer son avion, contrairement à Satan qui a d’autres plans pour ce mauvais bougre… Quoi qu’il en soit, Apocaline continue de sourire à la vie en allant à la rencontre des habitants. Elle fera la connaissance d’Archimède, un ingénieur qui travaille pour « Enfer Corporation » ou encore de Kaskou, un loup solitaire.
Cette nouvelle série pleine d’humour et de gags diaboliques nous plonge dans l’univers d’Apocaline pour un pur moment de divertissement!
Tandis que la flotte de l’Empire ennemi harcèle Aletheia, les mages du monde entier convergent vers la cité-État. Myst, l’espionne du roi, découvre ce qui les attire : l’Astre, précieux artefact qui donne pouvoirs et immortalité, détenu par Équinoxe. La ténébreuse magicienne, en s’emparant des secrets les mieux cachés, ne cesse d’accroître sa puissance. Pour échapper à son emprise, la jeune Lora va devoir consentir à un terrible sacrifice… en même temps qu’elle découvre le lien mystérieux qui l’unit aux hommes-poissons.
La légende raconte qu’une fois tous les 10 000 ans, naîtra sur terre un enfant exceptionnel, capable de comprendre les écritures anciennes qui permettent d’invoquer les créatures de l’autre monde.
Shingo Yamada est un garçon surdoué âgé d’une dizaine d’années. Doté d’un esprit malin et utopiste, son voeux le plus cher est de créer un monde où chacun vivrait heureux dans une harmonie bienveillante. Passionné par tout ce qui touche au mystérieux, ses amis l’ont surnommé Akuma-kun, le petit diable. Lorsqu’il rencontre l’étrange Docteur Faust, ce dernier lui apprend qu’il est « l’élu ». Avant de mourir, il lui enseigne l’ultime technique pour faire apparaître des démons et lui offre la « flûte de Salomon », un instrument magique qui permet de plier les monstres à sa volonté.
Accompagné de Méphisto, le premier démon qu’il invoque, notre héros devra combattre de puissants sorciers déterminés à récupérer la flûte de Salomon pour servir leurs propres intentions maléfiques. Il devra également protéger le monde des redoutables yôkai qui souhaitent parasiter l’ordre établi.
Avec ses personnages attachants et délurés, Akuma-kun est un manga délicieux, où l’on retrouve avec plaisir l’imagination débridée de Shigeru Mizuki. Oscillant entre horreur et fantaisie espiègle, cette oeuvre culte au Japon prouve, encore une fois, tout le génie de l’auteur. Une histoire intemporelle et superbement dessinée qui marie avec délicatesse noirceur et légèreté !
Un majestueux pop-up pour frissonner et jouer à se faire peur, à l’approche de Halloween !
« Laissez-moi vous raconter la fois où je suis allé chercher du persil tubéreux au potager du Sans-soucis. Mais je vous préviens, c’est une histoire effrayante ! Voyons si vous oserez m’écouter jusqu’à la fin mes jeunes lapins… »
Des pop-ups interactifs et spectaculaires avec des lapins zombis, des chauve-souris sanglantes, une plante carnivore : le combo parfait pour jouer à se faire peur !
« J’ai fermé mes maisons », disait-elle hier. Aujourd’hui la voici ballottée sur les mers, sur cette Méditerranée qui se décline au pluriel, tant sont nombreuses les rives et les dérives d’une humanité en perte de repères. Elle rêve d’une terre où poser ses valises, esquisse un désir d’appartenance, cherche l’hospitalité dans les regards. Son nom pourrait être celui qu’Ulysse donnait sous la menace, Personne, et ses mains dessinent des lignes de fuite. Sur sa route, il y a Aziz, le migrant devenu « enfant des vagues », un joueur de ney, les prisonniers de Makronissos qui « chantent la Grèce endeuillée », son père scaphandrier, et le silence de Thésée. À lire ses poèmes, on comprend que Marianne Catzaras ne veut pas laisser les morts mourir une seconde fois. Si elle écrit, c’est pour mieux vivre. Et pour tenter de sauver notre part d’humanité naufragée.
Abigaël en a assez. Chaque fois qu’elle essaie quelque chose, ça finit en catastrophe. Alors cette fois, c’est décidé : elle ne fera plus rien ! Comme ça, impossible de se louper. Malheureusement, la voilà obligée de partir en classe verte. Lors d’un jeu collectif, elle est tellement stressée à l’idée d’échouer qu’elle finit par tout faire capoter. Furieuse, elle s’enfuit en courant… et se perd dans la forêt. Elle n’a pas le choix, elle va devoir passer la nuit là. Va-t-elle réussir à se faire un abri pour la nuit ? Oui ! À trouver un petit déjeuner ? Oui ! Et à retrouver ses camarades ? Bien sûr ! Et si c’est grâce à un ours qui lui vient en aide, c’est surtout en elle-même qu’Abi trouvera les ressources pour se sortir de ses mésaventures.