Avec sa famille, Nita s’apprête à quitter son pays pour commencer une nouvelle vie de l’autre côté de la mer. Mais la traversée dans un petit bateau ne ressemble guère aux voyages décrits dans les récits d’aventures. Poussée par le vent du sud, la fragile embarcation affronte les périls. Alors que le père de la petite fille garde espoir, apparaît bientôt une plage de sable fin.
En 1934, Joseph est envoyé à la colonie pénitentiaire de Belle-Ile. Dans ce bagne aux conditions de vie terribles, il subit les violences de ses gardiens et devient le souffre-douleur de l’un de ses codétenus. Un soir, pour avoir mangé son fromage avant sa soupe, il est roué de coups. Ce mauvais traitement de trop sonne le début d’une révolte. 56 jeunes fugitifs se dispersent dans la nature.
Balbon, énorme monstre surgi de la mer, voudrait juste prendre un petit bain de soleil, si c’est possible bien-sûr, si vous êtes sûrs que ça ne vous embête pas et vraiment désolé pour le dérangement et merci encore pour tout…
Un jour, devant une petite ville côtière, un monstre énorme surgit des eaux. Tout le monde est en panique, mais le maire, n’écoutant que son courage, s’approche de la créature marine. Alors qu’il s’apprête à la supplier d’épargner la ville et ses habitants, le monstre s’incline très poliment et demande s’il peut juste prendre un bain de soleil. Et, promis, il prendra garde à ne détruire aucun bâtiment et à ne blesser personne. Et c’est ainsi que Balbon, le monstre le plus poli, le plus délicat du monde débarque et s’installe…
Le maire a-t-il eu raison de faire confiance à un monstre même s’il est le monstre le plus poli de l’univers ? Un personnage extraordinaire, sorte de mélange entre Nadine de Rothschild et Godzilla totalement craquant, dans une histoire extraordinaire toute en douceur.
Je suis la fille la plus invisible de la Terre…
Celle que l’on fait toujours semblant d’écouter.
Celle à qui l’on propose de s’asseoir quand n’y a plus de chaise disponible.
Un soir, j’ai décrété avec moi-même que j’en avais marre d’être cette fille.
Marre d’être celle qui s’intéresse à tout le monde et qui n’intéresse personne.
Marre d’être celle qui dit tout le temps « oui » parce qu’elle n’ose jamais dire « non ».
Poèmes en prose sur le thème de l’adolescence, dans lesquels l’auteur reflète par son écriture paradoxale et mouvante cette période où les émotions s’intensifient et où un trop-plein a besoin d’être évacué.
CHIMÈRES est une série d’imagiers créés par Alice Krichel et Zeynep Perinçek, au sein de la collection KALIMAT dédiée aux mots.
Imagiers d’animaux, de planètes, de végétaux, d’arbres, de cailloux, de fleurs, d’objets, etc.
Le principe est très simple et c’est toujours le même :
– d’abord, il y a le dessin. Un jeu de « cadavre exquis » entre les deux illustratrices sur des petites cartes : l’une dessine sur la moitié, cache son dessin, passe à l’autre… Zeynep Perinçek et Alice Krichel voient ainsi apparaître au hasard de leur inspiration un loup-canard ou une fleur-montagne… Soudain, ce qui surgit est très clair ! C’est tout à fait un animal chimérique ou une planète chimérique !
– ensuite il faut lui donner un nom, puis traduire son nom en arabe !
– et dessin après dessin, des volumes de chimères apparaissent !
Vous pouvez jouer vous aussi, en famille ou avec votre classe, et constituer ainsi des jeux de cartes plurilingues !
« CHIMÈRES – le bestiaire » est dédié aux animaux.
Ce petit imagier permet d’apprendre des noms d’animaux en arabe, leur prononciation et leur traduction tout en s’amusant à les deviner dans les dessins !
Jetant un regard derrière lui, un garçon se souvient de l’automne de ses 10 ans, celui vécu à Dharamsala où les moines tibétains faisaient danser des prières inscrites sur des drapeaux de toutes les couleurs. Il se souvient pour sa grand-mère qui, elle, avait perdu la mémoire…
Très simple en apparence, L’arc-en-ciel peut raconter bien des histoires à celle ou celui qui choisit de s’y plonger. Quelques gouttes de pluie, un soleil chatoyant, une poignée de mots soigneusement traduits et l’arc-en-ciel se déploie. Avec son graphisme et son sujet intemporel, chacun et chacune pourra se retrouver dans cette histoire qui nous touche tous et toutes : être soi-même, se libérer des carcans pour exister, se déployer et s’épanouir pleinement.
Le métier de ma mère consiste à faire traverser les écoliers au passage clouté. Les enfants l’adorent parce qu’elle est toujours gentille avec eux et parce qu’elle met des vêtements extravagants. Ce serait bien si elle avait un métier qui rapporte un peu plus d’argent, mais surtout si elle travaillait ailleurs que devant MON école !
C’est l’histoire d’un petit fantôme qui habite dans le Grand Nulle Part. Le problème avec le Grand Nulle Part, c’est que tous les objets utiles ou chouettes qui y existaient au départ, disparaissent dès qu’ils sont créés par les hommes !
C’est le cas du vélo, du football, des timbres…
Le jour où les crèmes glacées elles-mêmes disparaissent parce qu’un satané humain a eu l’idée de les inventer, c’en est trop pour notre héros, qui va tout faire pour traverser le miroir et venir, depuis l’au-delà, rejoindre le monde d’ici-bas!
Un album qui deviendra vite votre coup de coeur de la rentrée !